Le blues du dimanche. Celui
qui frappe en début de soirée, quand la lumière du jour s’est éteinte.
Beurk.
Pas qu’on n’ait pas envie de
retrouver les potes au boulot ou de se remettre en mode production. Seulement qu’on
a envie de rester dans l’état d’esprit du week-end, le prolonger encore.
Spleenogène.
Un coach me ferait réfléchir
à des trucs comme le sentiment d’utilité, celui d’appartenance, l’accomplissement, environnement, reconnaissance, dépassement, réalisation… Je
lui répondrais que même Hercule avait un petit cafard le dimanche soir.
Ce texte paraît dans le cadre du Défi 31 Jours.
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